Mérelle.net, l'aventure intérieure

6 - Rêve 3 : Les trois jeunes filles et l'assassin posent le problème de l'ombre

Christian : Qui a tué qui ?

Ma première réflexion sur ton 3° rêve va peut-être te paraître complètement idiote et peut-être l’est-elle effectivement, nous ne le saurons qu'en l'explorant un peu. Voilà, je m'interroge sur le randonneur noyé dans tes profondeurs abyssales. Qui est-il ? suicide ou meurtre ? Le rêve te fait donner une solution à cette dernière énigme : meurtre ! Et si ce n'était pas vrai ? Et si c'était un suicide ? ça changerait tout ! Du coup, dans les faits, le véritable criminel serait le randonneur noyé puisqu'il est quelque part responsable de l'accusation d'assassin que tu portes sur le jeune homme. Tu piges ? Non, je sens que tu me regardes de travers et que tu penses que j'ai trop d'imagination. Alors laissons tomber pour l'instant et parle-moi d'autre chose. De ton père, par exemple. C'est toujours instructif la relation d'une jeune fille avec son père.

Auqmn : Suicide ou meurtre ?

Ton hypothèse me paraît tout à fait plausible. La description de mon rêve était peut-être trop succincte. Voici le détail de la 1ère partie (sur le suicide).

En effectuant une série de sauts et de plongeons dans une rivière, j'aperçois une ombre au fond, sous un rocher en surplomb. Intriguée je plonge à nouveau et au 3ème essai, je vois un homme noyé retenu au fond par une corde qui relie sa taille à un lourd sac à dos. Cette découverte ne provoque pas de sentiment de malaise, je suis plutôt excitée en remontant à la surface et veux prévenir les autorités (je suis contente d'avoir fait cette trouvaille ). Mais je vois alors sur la berge deux autres marcheurs qui me disent que l'homme s'est suicidé. Ils veulent me dissuader de parler. Je les trouve suspects mais à cet instant surgit en moi l'image du noyé occupé à remplir son sac à dos de pierres, de se l'attacher à la taille par une corde (pourquoi n'enfile-t-il pas tout simplement les bretelles ?) puis je le vois se jeter à l'eau. Donc je suis convaincue que c'est un suicide.

Pourtant, dans la deuxième partie du rêve, dès que je vois ce jeune homme, je SAIS que c'est l'assassin.

Ce n'est pas la première fois que je rêve de personnes noyées ; en général ces rêves ne sont pas accompagnés d'angoisse ou de menace. Je ne me souviens pas avoir jamais rêvé que je me noyais, ou que j'avais peur de me noyer. Souvent, lorsque je reste longtemps sous l'eau, je m'aperçois que je suis amphibie. J'ai rêvé à plusieurs reprises de squelettes dans l'eau, et ce n'était pas désagréable. Il y avait une partie de moi qui se réjouissait à cette vue.

Tu as la grande originalité de m'interroger sur mes relations avec mon père. D'accord.

Tout d'abord, je l'aime et il m'aime, comme j'aime ma mère et mon frère et comme je sais que j'ai leur affection en retour (nous formons une famille très unie et nous sommes très proches en dépit de l'éloignement physique.)

Je l'admire pour son amour de la justice et sa quête du bonheur universel, pour avoir eu le courage de s'engager totalement à 20 ans - même s'il s'est complètement trompé sur les moyens de faire régner la paix et la justice -, bref parce que c'est un homme bon qui fera toujours passer le bien commun avant son intérêt propre. Il est parfois donquichottesque dans son besoin de sauver le monde, et bien qu'il ait renoncé à tout prosélytisme quand il a abandonné l’activisme politique, sa bible est toujours le matérialisme dialectique. Il est un peu obtus sur le sujet. Nous (y compris mon frère) avons néanmoins des discussions passionnantes sur l'Histoire, l'éthique, et des sujets aussi variés que la pédagogie, la physique statistique, la biologie moléculaire ou la topologie. Cependant il manque de répondant dans les domaines artistiques et littéraires. La poésie le touche très peu (hérésie).

Il a tendance à vouloir aider tout le monde et est toujours enclin à donner des conseils. Cependant depuis une dizaine d'années je lui demande rarement son avis et il s'abstient de donner les conseils que je ne sollicite pas. Évidemment s'il désapprouve mon attitude il m'en fait part. Je lui suis reconnaissante d'avoir reconnu très tôt mon indépendance car je sais que cela représente un effort pour lui, d'autant plus que tant que j'ai habité avec mes parents j'ai gardé peu de choses pour moi et leur ai raconté presque tout ce qui m'arrivait et ce que je ressentais.

Il se sent facilement coupable - il se sent toujours coupable, plus ou moins - et quand mon frère et moi évoquons des situations de notre enfance où nous avons souffert à cause de lui, il en est malade. Mais nous savons qu'il a vraiment essayé de nous élever le mieux possible et nous évitons d'évoquer un sujet aussi sensible. Il a beaucoup lu sur la psychologie de l'enfant, nous a traités en personnes intelligentes et raisonnables dès notre plus jeune âge, a été très proche de nous, autant que ma mère, et a passé autant de temps qu'elle avec nous (et a pour cela renoncé à certaines activités et responsabilités dans le groupe de ses amis). J'ai du mal à différencier les rôles qu'ils ont joués dans notre famille (tous deux sont enseignants, se partagent toutes les tâches et prennent toutes les décisions importantes de commun accord après discussion). Mon père a un côté féminin par sa douceur, sa patience, sa gentillesse, sa spontanéité, sa naïveté occasionnelle, alors que ma mère est ordonnée, rigoureuse, anguleuse (pas du tout dans sa relation avec nous, mais je la perçois avec des angles durs) et dotée d'une volonté et d'une force d'âme peu communes. Face à la vie, ma mère est en armure, tandis que mon père ouvre les bras pour sauver toutes les créatures.

J'envie un peu mon père (et mon frère qui lui ressemble sur ce plan) pour la facilité avec laquelle il se lie avec des inconnus et sa sociabilité, son désir de faire de nouvelles rencontres et de nouvelles découvertes.

Christian : Le plus méchant n'est pas celui qu'on croit

Voici mon raisonnement : Je suis parti de ce jeune homme considéré de façon négative et hostile. Je me suis dit l'image de l'homme est abîmée. Or lorsque chez une femme, l'image du père est abîmée, l'image des autres hommes subit souvent le même sort. D'où mon interrogation sur l'identité du noyé. Serait-ce le père ? Une image du père déficiente (inexistant, alcoolo, ou que sais-je) pourrait très bien être exprimée par l'idée de suicide (auteur de sa propre destruction). Dans cette hypothèse, le jeune homme ne serait plus l'assassin mais la victime du ressentiment de la fille blessée (quand il y a une victime et un persécuteur, on ne sait jamais vraiment très bien qui est l'un et qui est l'autre). C'est pour cela que je t'ai invitée à parler de ton père. Mais à lire le portrait de ta relation avec celui-ci, je me suis dit : ‘tu t'es planté, grand arbre !’ de ce côté-là ça baigne, il faut chercher ailleurs.

Mais ton deuxième message ''Colère'' semble dire que ce n'est pas aussi simple et qu'il ne faut peut-être pas abandonner si vite la piste des parents. J'en veux pour preuve ta phrase '' à partir de l'âge de 3 mois j'ai eu peur que mes parents m'abandonnent et pour les convaincre de me garder, je me suis imposée d'être parfaite, une enfant modèle, docile et raisonnable, irréprochable. J'ai toujours serré les dents, ravalé des larmes de rage, et cherché à atteindre mon objectif par un moyen détourné. Et quand c'était trop intolérable, j'ai ...''. Comment expliquer ce lissage extérieur, cette mise en scène intérieure de la violence ? comment es-tu devenue une ''fille obéissante'' ?

Prenons le rêve par un autre bout pour essayer d'en trouver la clé. Je suis interpellé par l'opposition entre la Sainte Trinité féminine et le mauvais garçon. La première référence qui me vient à l'esprit, c'est la problématique de l'intégration de la fonction inférieure de manière à réaliser une harmonie intérieure entre les 4 fonctions (cf. Types psychologiques), moment important de l'individuation. Pour utiliser ton allégorie familière, le problème c'est l'intégration de MoiNoir. Elle passe par une certaine perte de suprématie des trois belles. Je comprends donc qu'il y ait un certain avantage à les empoisonner un petit coup, car elles semblent plus acharnées contre lui que lui contre elles. Désolé, mais je ne peux pas m'empêcher de le trouver sympathique ce jeune homme ! Bien sûr, il fait un peu désordre et rustre au milieu de ces jeunes filles si policées, mais n'est-ce pas l'aspect le plus neuf, le plus singulier, le plus fécond de l'apport de Jung à l'aventure contemporaine que d'inviter à ''rechercher la lumière au milieu des ténèbres'' ? Donc, même si le rêve s'achève sur la note parfaitement sereine du statu quo ante, et peut-être précisément à cause de cela, je regrette, moi, que l'homme bascule ainsi dans le vide. Et si tu ne partages pas mon avis, ce que je conçois tout à fait, c'est peut-être parce qu'une extrémité du pont se perd dans le brouillard !

Il nous faudra parler de ce qu'il y a de l'autre côté du pont et de la personnalité de MoiNoir.

A toi.

Auqmn : cet avorton de MoiNoir

Si je ne t'ai encore pas parlé de cet avorton de MoiNoir (comme tu dis si bien), c'est que je ne le connais pas. Enfin, très mal. J'ai néanmoins réfléchi à la question et vais m'efforcer de t'en dire plus. J'ai à nouveau recours au personnage allégorique car c'est par ce biais qu'il m'est le plus aisé de rassembler quelques éléments à son sujet.

Caractéristiques les plus flagrantes : il est malingre, malheureux, maltraité, malintentionné, malfaisant.

Autres traits que je pressens :

Il est tout seul et il pleure.

Il est abandonné. Je crois que fondamentalement il est une victime. Sa méchanceté provient de son impuissance et de sa souffrance. Il a été brimé, rabroué, rudoyé (séquestré?).

Il se laisse gouverner par ses désirs. Il manque de volonté.

Il y a en lui également un aspect désespéré, suicidaire. Il recherche sa propre mort plus que celle des autres.

Voilà pour ce triste MoiNoir.

Tes autres questions concernaient ma première expérience amoureuse et les rêves.

1. C'est un excellent souvenir. J'étais aux anges. Je n'ai pas eu peur qu'il ne m'aime pas, j'étais parfaitement sereine et sûre de moi. J'ai entrepris de le conquérir (conquérir , oui : j'étais résolue à faire en sorte qu'il m'aime, cela ne semblait qu'une question de volonté et de détermination de ma part). Quand j'ai appris qu'il avait une petite amie, cela m'a à peine ébranlée. Je l'ai considérée comme un obstacle à écarter, rien de grave. Avant de le convaincre qu'il m'aimait, il fallait que je lui fasse comprendre qu'il ne l'aimait plus - cela prendrait plus de temps, c'est tout. Curieusement, cela a marché. J'ai été très heureuse un an, et puis je me suis aperçue que j'étais de moins en moins attachée à lui. Je ne savais trop quelle attitude adopter et c'est finalement une lettre de lui dans laquelle il remarquait combien je l'avais influencé qui m'a décidée à rompre (j'ai réalisé qu'il était trop malléable, qu'il portait mon empreinte, alors que lui n'exerçait aucune influence sur moi - à part dans mon approche de certains problèmes de math vraiment ardus). J'ai été fort maladroite, je le crains, et il a beaucoup souffert - j'étais vraiment désolée de lui faire tant de peine - mais j'étais satisfaite d'avoir été sincère avec moi-même et avec lui.

2. Je ne me souviens plus de ce qui m'a incitée à m'intéresser à mes rêves (une lecture ? la suggestion de quelqu'un ?), mais je me souviens très bien que cela a coïncidé avec la prise de conscience que si je m'ennuyais et trouvais ma vie vide, c'était parce que j'avais un grave problème dans ma relation à autrui, et surtout que si je voulais que cela change, c'était à moi d'agir et de sortir de ma torpeur craintive et insatisfaite.

J'ai pris la décision de cesser de m'enfermer en moi-même et de m'ouvrir un peu plus aux autres. Il me semblait que mes rêves pouvaient m'aider et m'éclairer dans cette évolution. Finalement je n'ai pas eu à faire beaucoup d'efforts pour que cela fonctionne et sur le plan relationnel, les trois années suivantes ont été très réussies (je n'avais jamais auparavant été intégrée de la sorte dans un groupe). Quant aux rêves, il ont jalonné cette progression. Je n'étais en mesure de les interpréter, mais ils ont été un soutien. Et j'ai deviné l'existence indépendante de ce gouffre d'inconnu en moi, que j'ai envie d'explorer, dont j'ai envie de comprendre les motivations. Depuis lors j'ai envie de rencontrer cet autre moi-même.

Alors, qui est le noyé et qui est le jeune homme ? :-)))

Christian : MoiNoir ne perd rien pour attendre

Je ne peux qu'accueillir avec beaucoup de bonheur ton envie d'explorer ta profondeur. Là est la véritable aventure de notre époque. Tu portes en toi beaucoup d'atouts. L'aventure intérieure n'est pas une aventure triste, regarde comme on s'amuse tous les deux ! Ce n'est pas non plus une fuite de la vie. C'est au contraire une fabuleuse fête de la vie et de l'incarnation sur terre dans toutes ses dimensions, la conquête de la totalité.

J'aurai beaucoup de plaisir à continuer à bavarder avec toi et ... n'aie crainte je n'ai pas oublié les questions en suspens. Lis des choses sur les quatre fonctions.

Auqmn : triste ??

>L'aventure intérieure n'est pas une aventure triste, regarde comme on s'amuse tous les deux !

Je suis bien d'accord ! Pourquoi crois-tu que j'envisage cette 'exploration' comme quelque chose de triste ? Parce que j'ai eu recours à cet adjectif pour qualifier MoiNoir ?

J'ai employé ce terme car en relisant ce que j'avais écrit à son sujet, j'ai réalisé que c'était vraiment un 'triste sire'. Mais justement, il faut changer cela. Je suppose que cette démarche n'est pas toujours aisée, et certains passages sont sans doute difficiles. Mais je ne pense pas qu'ils soient jamais tristes.

>Lis des choses sur les quatre fonctions.

Yes sir.

C'est la troisième fois que tu y fais allusion. Ne t'inquiète pas, j'ai suivi tes conseils. Ta première évocation des quatre fonctions a éveillé ma curiosité et j'ai trouvé tous les ouvrages propres à la satisfaire à la bibliothèque de la faculté de psychologie de l'université. Je suis en pleine lecture.

Christian : Le cri de MoiNoir : "Je veux plus aller à la baille !"

Je n'ai jamais pensé que tu envisageais l'aventure intérieure comme quelque chose de triste. Pas du tout. J'ai voulu au contraire mettre l'accent sur l'orientation ludique et passionnante de la démarche, alors que beaucoup de gens extérieurs s'en font une image négative et austère et que, souvent, ceux qui s'y engagent le font à la suite de traumatismes profonds. C'est tout. Et j'apprécie que des jeunes gens, pleins de vie, équilibrés, promis à un bel avenir, ressentent l'appel du fond et décident d'y répondre ici-même, au milieu du monde, en assumant leurs engagements professionnels, familiaux et autres. Ce sont les phares de demain qui vont inventer et promouvoir une autre manière de vivre leur humanité, ajoutant la dimension du sens.

Les 4 fonctions. Je suis sensible à la vitesse de ta réaction et te prie d'excuser ma sénilité galopante qui se traduit (pour l'instant) par le rabâchage. J'attends tes premières remarques sur la correspondance que j'ai établie entre les 4 parties de AUQMN et les 4 fonctions jungiennes. Si je me suis risqué à émettre l'hypothèse d'une fonction intuition dominante, c'est surtout parce qu'il me semble que MoiNoir, ta fonction inférieure, est la sensation. Peux-tu préciser si les caractères attachés à la fonction sensation sont plutôt sous-développés chez toi ? Je vois un signe également dans un fait, totalement fortuit (mais ce sont les meilleurs), : tu as placé le Q au milieu de AUQMN, en point d'équilibre entre AU et MN. Pour affiner l'analyse et puisque tu es matheuse, explique-moi comment tu fais des maths. Peut-être ne t'es-tu jamais interrogée à ce sujet ? Comment s'articulent l'approche, le déclic et le raisonnement. Peux-tu dire que tu trouves, et que tu démontres ensuite, ou bien que tu as plutôt tendance à mouliner jusqu'à ce que tu trouves ? Et dans la vie, est-ce pareil ? La fonction dominante, c'est celle qui emporte l'adhésion.

Ton 3° rêve me paraît relater un épisode du jeu intérieur interminable entre d'une part les 3 fonctions que tu utilises le plus et donc que tu as bien développées : A plutôt dans ta vie rationnelle, U plutôt dans ta vie subjective (imaginaire), avec Q siégeant en majesté au-dessus, et d'autre part MoiNoir, le peu utilisé, le mal aimé, l'archaïque, le primitif, la composante principale de ton ombre. C'est ainsi que je suis enclin à penser que le noyé et l'assassin sont deux représentations de MoiNoir, partie de toi-même à la fois enfouie dans l'inconscient (l'eau) et malveillante parce que maltraitée. Le rêve montre une fois de plus que le conflit intérieur tourne à l'avantage de AUQ et que MN est noyé à nouveau. On passe son temps à le noyer celui-là ! Et je trouve que c'est dommage, parce qu'il va ressortir et tenter de se venger à nouveau. Que représente-t-il ? Je pense qu'il est en rapport avec cette fonction sensation déficiente. A toi de préciser, si mon hypothèse est juste, dans quel domaine s'exerce cette déficience (es-tu attentive à ce que t'apportes tes sens physiques ? est-ce en rapport avec la sensualité ? voire la sexualité (à cause de l'éprouvette, mais ça ne me paraît pas déterminant)). Je crois que le rêve pose le problème de la place à faire à MoiNoir dans ton équilibre intérieur, et donc le problème de savoir sur quoi débouche ce pont qui, pour toi pour l'instant, débouche dans le brouillard.

J'en reste là pour ce soir. A bientôt, MNQUA.

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Commentaire de Sylvie : Ce n'est qu'un MENSONGE de plus des webmasters qui ne sont plus à ça près.. (posté le 23/12/2006 à 01h04).

http://forum.merelle.net/profile.php?1,379

Commentaire de Christiana : TZUwVtGFbzWlPSn (posté le 22/07/2011 à 20h41).

Cheers pal. I do appreciate the wtriing.

Commentaire de Kristina : kNEZSmWHPNWTivo (posté le 3/01/2013 à 23h27).

salut mon grand,un petit mot pour te souhaiter un bon re9tablissement, tu n'as pas le droit de nous lasiesr tomber, la force et le mentale de ton frere de ta famille et tes amis te le prouvent,je massocie e0 eux, prouve nous la meme force que je connais en toi.a tres bientot.ton etat acctuelle nous prouve ta force, mais guerrit plus vite encore afin de te voir le plus rapidement possible en france.un dernier mot pour ton copain qui meme apres tous ce que tu a essaye9 de faire est parti je lui souhaite un bon accueil la haut et a ses parent beaucoup de courage

Commentaire de Cgpme : SnzrRZehdpeAIxrcId (posté le 21/10/2015 à 03h36).

Et le plus beau dans tout e7a, c est que ces tarifs n ont abuolsment pas bouge9 depuis au moins 25 ans. En 1980 de9je0, on m avait paye9 120 F (moins de 20 euros) pour traduire du hongrois vers le frane7ais (et c e9tait bien paye9, il paraeet). Avec l e9volution du cofbt de la vie, amusez-vous e0 calculer combien font ces 20 euros d aujourd hui en francs constants.

Commentaire de Dwi : HljdLUjKQHcD (posté le 23/10/2015 à 19h24).

Bonjour Val,Tu es la premie8re e0 me tagger Mon livre de cvehet (en frane7ais) est Brand Design Construire la personnalite9 d'une marque gagnante de Bassani, Sbalchiero, Ben Youssef et Magne.A la page 123, Les sensations subtiles. Les perceptions de marque sont comparables aux sensations. Le treizie8me chapitre illustre, par le biais d'une se9rie d'e9tudes de cas e0 succe8s, la fae7on dont les sensations e9voque9es par les marques peuvent concerner une e9motion, un me9gatrend ou une perception esthe9tique. Je me trompe ou ce livre de9note un peu ? Pas trop de9e7ue ? Je suis curieux de savoir ce que cela va donner sur mon blogEt pour mon livre de cvehet en anglais, c'est The back of the napkin Solving problems and selling ideas with pictures de Dan Roam. Je t'e9pargne la page 123 Bonne continuationLaurent http://evuify.com [url=http://bwobqv.com]bwobqv[/url] [link=http://gqtyqesdvj.com]gqtyqesdvj[/link]

Commentaire de Lom : wYtuoemiRVQwrmL (posté le 25/10/2015 à 09h17).

Que de lauriers ! Un oubli : une lnguoe vie de chat Eva a eu tort de changer de lunettes (je pre9fe8re la monture rouge) et je crains que cette re9compense soit trop faible pour lui faire oublier les coups ge9ne9reusement distribue9s par ses amis politiques, au fil de la pre9-campagne. Le gagnant remporte-t-il un se9jour dans le paradis corre9zien ?

Commentaire de Roop : ssewFHoGsba (posté le 26/10/2015 à 20h51).

Date : 15/03/2012LE POPULAIRE DU CENTRE, c9DITION LIMOGES* Information re9gionale : Carrousel ou comment e9changer sans aregnt en Creuse.L association creusoise Carrousel est le support d un syste8me d e9change local.* Information nationale : Le premier ministre belge, Elio Di Rupo, a de9cre9te9 une journe9e de deuil nationale.* Information internationale :les Belges sous le choc ne comprennent pas.22 enfants scolarise9s en Belgique et 6 adultes ont e9te9 tue9s mardi soir dans un accident.LA MONTAGNE CREUSE* Information re9gionale : Des jeunes creusois sensibilise9s e0 la citoyennete9.Organise9e dans le cadre de la journe9e nationale du re9serviste, la journe9e de9fense et citoyennete9 vient de se de9rouler e0 Gue9ret, avec la participation d une quarantaine de jeunes Creusois.* Information nationale : Eva Joly de9ment les rumeurs de retrait : elle ira jusqu au bout .(pre9sidentielle) Les e9cologistes ont resserre9 les rangs, hier,e0 Strasbourg, autour de leur candidate qui a de9veloppe9 son projet europe9en.* Information internationale : Les Belges sous le choc ne comprennent pas.L accident de car, mardi soir, en Suisse, a fait 28 morts dont 22 enfants scolarise9s en Belgique.L’c9CHO, c9DITION DE LA CREUSE* Information re9gionale : /* Information nationale : /* Information internationale : Le car belge percute un mur dans un tunnel: 28 morts dont 22 enfants. http://oswpouxhc.com [url=http://upbcdfxdc.com]upbcdfxdc[/url] [link=http://rbivxlmrymg.com]rbivxlmrymg[/link]

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