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48. Vive le roi !

Auqmn : Vive le roi !.

Mes rêves de cette nuit m'intriguent, surtout le dernier.

Si vous avez des idées, je vous serais reconnaissante de m'en faire part.

1. Je me trouve dans un magasin. On annonce une avalanche et tout le monde doit évacuer les lieux. Je ne me sens pas du tout en danger et reste sur place. J'entends la neige qui s'abat sur le toit. Je réalise alors que c'est sérieux et je sors. Un peu plus tard, après le passage de l'avalanche, j'entre à nouveau dans le magasin (à moitié rempli de neige) et je m'entretiens avec un enfant.

2. Je prends un bus en compagnie d'un jeune homme italien. Je descends au terminus, l'arrêt s'appelle 'le Viaduc'. Il n'y a pas de viaduc en vue, seulement un lac et un parc de loisirs. Des gens se baignent dans le lac et des adolescents s'amusent à plonger du haut des rochers. Je connais l'endroit, j'y suis déjà venue, mais je me sens mal à l'aise. Je n'ai aucune envie de nager et de m'amuser comme les autres. J'erre sur place, désœuvrée et maussade.

3. Je fais partie d'une troupe de théâtre. J'ignore quelle est ma fonction. La troupe est dirigée par un couple marié. C'est la femme qui écrit toutes les pièces jouées par la troupe. Récemment, les pièces sont toutes des comédies et remportent un franc succès les unes après les autres. Dans les titres des pièces, il est toujours question de chaussures, sauf pour la dernière qui vient d'être achevée et n'a pas encore été montée.

Tous les membres de la troupe sont alignés sur une longue file. Ils font la queue. Je marche sur les talons du couple directeur qui s'approche de la file. En tête sont les acteurs qui jouent les rôles principaux. Une jeune actrice s'excuse d'être parmi eux et dit qu'elle va retourner à sa place en arrière. La directrice lui répond que c'est inutile car elle va jouer un des premiers rôles. L'actrice est ravie.

Nous prenons place (la directrice, le directeur, d'autres membres influents de la troupe et moi) à la fin de la file. Les acteurs veulent nous laisser passer devant eux mais nous refusons.

4. Nous sommes à présent à Paris, sur le parvis d'un imposant monument (toujours alignés, mais cette fois nous formons une sorte de haie d'honneur selon un motif géométrique). J'écris 'nous' mais je ne fais pas partie des individus en ligne, je suis un de leurs chefs. Je suis à l'entrée de l'édifice, sous un vaste porche, en compagnie des autres dirigeants du groupe. Nos hommes sont sur la droite. V est au milieu, et les chefs sur sa gauche. Je suis la plus proche de lui.

Nous nous mettons tous à l'acclamer en criant 'Vive le roi!' et en faisant le salut romain, bras tendu (je sais que c'est aussi le salut hitlérien, mais dans le rêve, je pense seulement à la Rome antique). V sourit d'un air embarrassé, il ne sait pas quel contenance prendre. Il est de petite taille et tous ceux qui l'entourent sont plus grands que lui. Il semble vulnérable, comme un roi-enfant. Jusqu'à présent nous taisions son identité mais il est temps de la révéler. Nous avons la ferme intention de le mettre sur le trône et c'est notre premier acte public.

Nous mettons un genou en terre, solennellement.

A cet instant surgissent quelques uns de nos adversaires. Ils s'en prennent à l'homme qui est sur ma gauche et s'appelle Marc Tussaud. Ils sont furieux contre lui et veulent le tuer. Leur chef lui dit qu'il n'aurait pas dû sauver le jeune roi autrefois et que V va mourir le jour de son couronnement. Puis il s'en prend à moi aussi et m'oblige à lever la tête vers lui en appuyant la lame de son épée sur mon cou. Je n'ai absolument pas peur, ni pour moi, ni pour le roi. Je suis même contente d'être mêlée à tout ça. Mon réveil m'a tirée du sommeil à ce moment et j'étais très frustrée de ne pas connaître la suite du rêve.

(V est un camarade de prépa que j'appréciais beaucoup, gentil, généreux, sérieux, travailleur, modeste et réservé.)

Claudia : Avalanche

Voici quelques réflexions que ton premier rêve m'inspire.

Étonnant un rêve d'avalanche par ce redoux exceptionnel de février, la neige fond en dessous de la masse et le moindre (événement-mouvement extérieur) la fait glisser, avec les conséquences connues.

Le décor de ton rêve, un magasin, lieu privilégié du troc, des échanges, en l'occurrence au niveau cérébral, (le toit) mais aussi du contrôle que tu exerces sur ces forces en mouvement. (ta crânerie).

Qu'est-ce qui bouge en toi qui menace de déferler et d'ébranler tes sécurités?

Ta placidité devant le danger reconnu, et ton attitude de bravade démontre une attitude de contrôle, il te faut voir pour y croire, St Thomas a fait son temps, laisse passer les émotions, les intuitions, obéis à tes impulsions premières. (tout le monde évacue les lieux).

La tuile s'abat (la neige sur le toit), va t-il résister ? non la neige l'a défoncé, (tes garde-fous mentaux), cependant que tu as su t'évincer à temps. de plus, tu ne manques pas de courage ou d'intrépidité, pour retourner à l'intérieur, l'enfant? un symbole de renouveau, un germe à cultiver sans trop discuter.

Un rêve de mise en garde? Rien ne résiste à une avalanche, ou tu te (tasses) vite ou tu subis et disparais. Il semblerait que tu aies choisi de rester, même si tu parlementes encore...:-))

Auqmn : Elle est déjà passée

Après t'avoir lue, et me demandant ce qui risquait de me tomber dessus, j'ai soudain réalisé que le rêve faisait peut-être allusion à quelque chose qui s'était déjà produit, en l'occurrence une avalanche de travail la semaine dernière.

Je l'ai vue venir mais j'ai cru que je saurais tout gérer, et finalement j'étais tellement occupée que j'ai oublié que j'avais un examen (sic). Bref, je me suis surestimée, mais l'avalanche n'a fait de gros dégâts (le toit du magasin n'est pas enfoncé dans le rêve) et seule ma fierté a souffert de l'incident. Rien de catastrophique en somme, j'ai réalisé à temps à quel point j'étais fatiguée (ce que mon corps me disait depuis un certain temps, mais je faisais la sourde oreille).

Tu as raison de parler de ma crânerie (j'ai réagi au dernier moment), et le rêve me met en garde afin que je sois plus prudente la prochaine fois (et plus humble, aussi).

Cependant j'ai toujours un emploi du temps très chargé et je n'ai pas vraiment l'intention d'y changer quoi que ce soit (je retourne dans le magasin). Mais peut-être la rencontre avec l'enfant va-t-elle me faire changer d'avis et me distraire de mon réacteur pour me consacrer à des activités plus créatives et bénéfiques pour moi.

Alain : Créativité

Je vais continuer dans la même lancée, même si cela avait peu d'écho en toi... Dans le dernier rêve je voyais que tu devais laisser le monde froid pour un monde plus chaud, le rationnel pour les sentiments. Il y a du changement. Ici le monde froid s'arrête dans un fracas, comme si c'était une fin pour du renouveau. Le monde froid te laisse un message avant de partir, occupe-toi de l'enfant. On voit plus loin qu'il s'agit de l'annonce de la venu de l'enfant-roi.

Dans le deuxième rêve on voit que le monde chaud des sentiments ne t'intéresse pas du tout, tu as besoin de plus. Je pense qu'on a beaucoup mis l'accent sur le fait que tu es logique et intelligente et que tu devais retrouver en toi le monde des sentiments, de la féminité et des sensations, mais il me semble que cela ne peut pas te satisfaire. Le troisième rêve semble apporter une nouvelle solution.

Ce que je trouve important c'est que tu marches dans les pas des directeurs. C'est comme si bientôt tu avais à développer toute ta créativité et ton imagination. Dans ce que tu vis, c'est peut-être cela qu'il te manque, un peu de créativité pour te réaliser...

L'enfant que l'on a vu se développer dans les derniers rêves, celui qui va au combat, va bientôt être couronné. Un nouvel animus, plus près du monde des arts, du théâtre, de la mise en scène et de la création est mis à l'avant plan. Il s'est affermi et tu es bien prête à le défendre, à combattre pour lui. Voici où tu es bien, pas dans un monde rationnel et froid, pas dans un monde de sentiments et de sensations chauds, mais dans l'action, la mise en œuvre, la création....

Sais-tu ce qu'était au juste le monument?!

Auqmn : Créativité

Ton interprétation me paraît très juste.

Je crois en effet que ce qui me fait défaut et cause mon insatisfaction actuellement est mon absence de créativité, ou plutôt le fait que je ne la mette pas en œuvre. Je vais m'efforcer d'y remédier (cela fait quelques temps que j'ai envie de me remettre à écrire mais après 11 ou 12h de labo l'énergie me manque).

Je ne sais plus ce qu'était le monument. Je ne l'ai pas vu dans son ensemble, je ne conserve que les images de hauts murs de pierre sombre et de colonnes massives.

Orphée : Trouver sa place

Je suis frappé par les ressemblances entre ces rêves. Il semble chaque fois que tu ne peux pas trouver ta place au milieu des groupes. Tu restes dans le magasin alors que tout le monde a eu un légitime réflexe de prudence, tu ne te mêles pas aux ébats des adolescents, tu marches avec les directeurs, mais tu te places avec eux à la fin de la file, tu es le chef mais tu ne sers qu'à introniser un ami qui ne semble pas à la hauteur de cette fonction. En somme, tu te mets en retrait, tu laisses à d'autres le soin de s'amuser, de commander, etc. À noter que tu te démets en général au profit de plus jeunes (l'enfant, la jeune actrice, le petit V...). Ce dernier est ambigu : gentil, mais dépassé, pas à la hauteur : lui non plus ne semble pas à sa place, dans cette place où tu le mets.

Je remarque aussi ton côté invulnérable : tu n'as peur ni de l'avalanche, ni de l'épée de l'ennemi, comme si tout cela était un spectacle, une pièce de théâtre qui n'a pas les pieds sur terre (les chaussures).

Auqmn : ...dans l'action

Merci pour tes commentaires. Tu soulèves un point intéressant.

Cependant je ne suis pas complètement d'accord sur le fait que je ne parviens pas à trouver ma place dans un groupe.

Cela est vrai pour les deux premiers rêves, mais par la suite je suis à l'aise dans la troupe de théâtre, et surtout dans le groupe des partisans de V. Certes, dans les deux cas, je ne fais pas partie du gros de la troupe (comédiens ou défenseurs de V), car je suis parmi les 'chefs'. Mais je suis convaincue du bien-fondé de l'entreprise dans laquelle je me suis engagée, je suis sûre de moi et ma situation me convient parfaitement.

Je me mets en retrait, remarques-tu. En effet, en tant que membre de la troupe théâtrale je laisse les acteurs occuper le devant de la scène (c'est leur rôle, non?) et en tant que partisan de V c'est lui (et pas moi) que je veux mettre sur le trône. Cela ne signifie pas pour autant que je ne participe pas à l'action. Au contraire. Les comédiens, comme V, sont là pour jouer un rôle déjà écrit, ils sont en représentation. Moi je suis du côté de la création, de l'action, du côté de la directrice qui écrit les pièces et du côté des partisans de V, i.e. de ceux qui vont s'emparer du trône (certes V sera roi, il est du reste déjà notre roi, mais c'est nous qui prenons les décisions, et V reste passif).

Dans cette mise en retrait tu vois un désistement. Ce n'est pas mon avis. En apparence c'est sans doute le cas (les dirigeants de la troupe de théâtre se placent volontairement à la fin de la file, je me bats en faveur de V) mais en réalité c'est moi qui dispose du pouvoir (et non les acteurs ou V). Peut-être plus tard le remettrai-je entre les mains de V, lorsqu'il sera prêt à assumer sa charge (et je crois qu'il fera alors un bon roi, car c'est quelqu'un de droit et je l'estime). Pour l'instant, j'ai un trône à conquérir et je me sens parfaitement à ma place (au cœur de l'action, quoiqu'en disent les apparences).

Orphée : Ça change tout !

Je comprends mieux. En effet, il n'y a pas de désistement si tu te vis au cœur de l'action. Le sens est fort : tu luttes pour mettre en avant / imposer quelqu'un (jeune fille ou jeune homme) de droit et de capable, mais qui a juste besoin de grandir encore un peu. Il y a beaucoup de jeunes gens dans tes rêves, ils incarnent souvent des valeurs positives. Je ne peux pas en dire plus pour l'instant...

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Commentaire de Pierkiroul : La lune a rendez-vous avec le soleil (posté le 26/11/2006 à 02h48).

Hypothèse...

Le magasin, lieu où l’on entasse en vue de l‘échange, de la mise en circulation, reçoit un nouvel approvisionnement abondant, sous forme de neige, et la toiture « a la bonne idée » de céder enfin, laissant entrer « ce qui tombe du ciel » : la tête lâche ou, dit plus familièrement, la rêveuse se lâche la tête. Ceci semble lui permettre d’entrer dans un échange avec un enfant, avec une jeune pousse ou poussée, qui va croître en elle, une « innocence » profitable.

Transport en commun avec un jeune homme italien : partage « amoureux ». Italie pays de l’amour ( Roméo et Juliette, etc…). Un échange avec un homme, marqué par le sentiment.

Cet échange conduit à un arrêt de bus nommé « le Viaduc », mais sans viaduc visible. Il s’agit d’une étape que le rêve confirme comme menant bien sur « la voie » : La voie de l’amour, de l’union sensée (et sacrée) du masculin et du féminin en elle, la voie de communication établie entre les deux rives, les deux pôles.

Le lac serait–t-il né de la fonte des neiges arrivées en avalanche, puis soumises à (ou bénéficiant de) la chaleur du sentiment ?

La rêveuse n’est , pour l’heure, pas vraiment à son aise dans cette nouvelle situation et ne veut pas « se jeter à l’eau », mais certaines parts d’elle-même l’ont déjà fait, plongeant et nageant dans cette eau bienvenue.

Elle ne sait pas bien son rôle dans cette nouvelle pièce. S’agira-t-il encore de trouver chaussure à son pied, comme dans les pièces précédentes ? Cette nouvelle pièce sera-t-elle également une comédie, une œuvre réjouissante, une bacchanale (comédie viendrait du grec « kômos » : fête en l’honneur de Dionysos) ?

La troupe est dirigée par un couple marié. Un modèle « archétypique » ou une part de la rêveuse, qui a déjà réalisé l’union matrimoniale, qui a déjà trouvé chaussure à son pied. C’est la femme, c’est la part féminine de ce couple, qui écrit les pièces. Les relations sont du domaine de l’Eros plutôt que de celui du Logos. Il s’agit de faire entrer en relation les deux pôles, masculin et féminin.Cette femme est l’entremetteuse qui manœuvre habilement pour marier les partis sans rien casser, en ménageant les sensibilités de chacun(e) et en créant les situations favorables à l’union (les scénarios propices).

La rêveuse emboîte le pas à ce couple directeur des opérations en cours : elle adhère, elle collabore à ce qui se prépare. La rêveuse est, dans le rêve, cette part que je serais tenté d’appeler « la gérante » de l’ensemble ou d’un certain nombre des composant(e)s de sa personnalité, de son individualité. (Il doit exister une appellation plus appropriée et-ou plus savante, elle ne me vient pas à l’esprit).

Une jeune actrice, une part du féminin, qui était jusque là demeurée à l’arrière-plan, va désormais jouer un rôle important dans ce qui se prépare Elle n’attendait que ça, c’est à dire qu’elle est prête. Elle semble bien être le pendant féminin de V, le futur roi, pour ce qui est de la modestie, de la réserve, etc …

Il est sans doute juste que les acteurs, ceux qui sont au centre de l’action, soient au premier plan.

L’événement (et l’avènement) est d’importance capitale (Paris), monumentale, et se joue ou se prélude peut-être(?) sur le parvis de « Notre Dame », sur la base d’une féminité sacrée (ou sous les auspices de Mère Alchimie ?), tandis que viendra bientôt le sacre du roi après son plébiscite souligné par le salut à la virilité de « la rome antique » ( penser à l’italien, plus haut) dans ce geste du bras érigé. Cette virilité est dans la nature du futur roi plus que dans son apparence. Elle est toutefois susceptible de se déployer plus largement par la suite.

Le nom du roi sera révélé, il sera mis sur le trône : cette nouvelle situation « politique » dans la cité intérieure, qui s’était préparée (V. est un ancien camarade de prépa…!) dans les profondeurs, va maintenant s’affirmer et s’étendre à d’autres niveaux de la personnalité, de l’individualité.

Les adversaires, les résistances au changement, s’en prennent à Marc Tussaud, car il a autrefois sauvé le jeune roi. Je suis tenté de lire ce nom Marque Tue-sauve (ou Tue-sauf), - en osant une petite approximation phonétique sur la dernière syllabe-. ceci me ramène à mon commentaire des « Trois rêves pour commencer » - qui se trouvent au début de l’étude consacrée aux rêves d’Auqmn - où je supposais que le poison qui tuait (comme celui qui l’administrait) pouvait être également ce(lui) qui sauvait, en soustrayant au conflit un représentant du masculin, puis en lui redonnant la vie en temps opportun et en favorisant peut-être également la naissance de l’androgyne (forme creuse et longue du tube à essai).

La rêveuse est contrainte à lever la tête sous la menace d’un masculin qui dominait autrefois et qui est, bien sûr, le chef de la résistance au changement ! Elle constate alors qu’elle est libérée de sa tyrannie. Il ne régnera plus en maître, « comme devant ».

La jeune actrice tiendra-t-elle le rôle de la reine auprès de V. ? Le mariage du Roi et de la Reine, du Soleil et de la Lune, sera-t-il bientôt célébré…?

Commentaire de Sylvie : Ce n'est qu'un MENSONGE de plus des webmasters qui ne sont plus à ça près.. (posté le 23/12/2006 à 01h03).

http://forum.merelle.net/profile.php?1,379

Commentaire de Guii : uORnsQXJaTKR (posté le 25/12/2015 à 17h04).

Bravo pour cette pre9sentation qui est dans la ligne de notre quotidien avec nos 7 entfans.Mais ce qui m'inte9resse c'est surtout l'organisation des cours avec 4 entfans en GS, CE 1, CM1 et 5eme. J'ai pris les cours Kerlann qui sont de9je0 organise9s e0 la journe9e et e0 la semaine ,ce qui ne me demande aucune pre9paration. Je sais exactement of9 nous en sommes et quand la journe9e est finie ce que je n'avais pas avec d'autre cours. Pour la 5 e j'ai les cours du Sacre CÅ“ur par internet,je crois que c'est bien ma fille peut se de9brouiller toute seule et me demande de l'aide ponctuellement,elle s'organise seule c'e9tait essentiel pour moi .Si d'autres parents ont des trucs pour avoir le calme e0 la maison c0 bientf4t et merci

Commentaire de Niekto : nZJeFLriDZcQkFfXPWa (posté le 26/12/2015 à 03h14).

6/10 Bof glop , paraeet-il.Mais de gre2ce, bannissez les csaeshz l intrus e0 jamais : parce que c est tre8s mal, d abord, mais surtout parce c est tout e0 fait e9quivoque.Vous me ferez deux pater.

Commentaire de Andres : eEytdyViQe (posté le 28/12/2015 à 17h21).

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