Commentaire de Emma : Coïncidence (posté le 15/08/2002 à 20h36).

Bonjour Christian,

Je me fais un régal de venir poser le rêve de ma fille, fraîchement raconté ce matin...

elle) - Ima, Ima, j'ai fait un drôle de rêve, je me mariais , mais c'était drôle!

moi) ha oui!

elle) - Voilà je me mariais, j'arrive chez moi avec Cath (une des trois soeurs). Je descends de voiture, pas prête!! et pff! Cath démarre, s'en va avec toutes mes affaires, plus rien à me mettre! RIEN

J'entre dans ma maison, que Laura, (l'autre soeur) a superbement décorée, et voilà je me marie telle quelle et tout est bien!

L'une lui retire ses atours inutiles et l'autre lui dore le coeur d'amour!

Voilà ce n'était qu'un clin d'oeil!

Commentaire de ganapati : une institutrice irresponsable... (posté le 26/08/2002 à 21h40).

Mais ne serait -elle pas aussi un aspect essentiel de Mère Alchimie.

Parce que souvent, je la maudis la garce de ces

acrobaties qu'elle m'oblige à faire et qui me font

souffrir sans que le moindre sens ne se fasse jour.

Je la prie pour que toute cette merde puante en ait un un jour, mais pas tous les jours.

ganapati

Commentaire de nicole : cuisine alchimique (posté le 29/08/2002 à 14h36).

La citation du mois parle de l'amour comme du feu qui permet la cuisson,qui transforme les amalgames en un tout nouveau et comestible,un tout qui nourrit le corps et la vie. Oui, je crois que les éléments de cuisson pris séparément sont parfois indigestes mais fusionnés à d'autres éléments ils deviennemt alors des ferments, des compléments surpenants. Notre malheur c'est d,essayer d'avaler les condiments un à un...et parfois même en grosse quantité et après on peste contre çi ou çà alors que nous sommes juste de piètre cuisinier...

Commentaire de messager : le feu - à la bonne température ... et au bon moment (posté le 6/09/2002 à 09h36).

ambiguïté du feu :

crainte du feu qui ravage

joie du feu qui réchauffe

drame de l'institutrice irresponsable

d'autres qu'elle sont responsables des rythmes scolaires

on n'abreuve pas un ane qui n'a pas soif

le drame de l'institutrice :

apporter à des enfants,

des réponses merveilleuses

à des questions qu'ils ne se posent pas

sa planche de salut :

l'éducation permanente

qu'elle aille enseigner à des adultes,

(en congé sabbatique)

ils sont assoifés de questions

(comme sur Merelle)

elle n'aura que l'embarras du choix pour donner des réponses

et offront aux enfants une cuisson à feu doux

au lieu de les gaver les dix premières années de leur vie, donner leur accès aux réponses tout au long de leur vie

à la retraite, ils auront beaucoup de temps pour les macher les légumes du chaudron, cuits à point !